Mauvais point pour la gastronomie française: les coureurs n’apprécient guère la cuisine des hôtels.
« Des pâtes réchauffées, avec trois centimètres d’eau au fond du plat, des viandes mal cuites ou des « petits pois-carottes » dont on voit qu’ils viennent de conserves »: voilà à quoi ressembleraient les petits plats mitonnés dans beaucoup d’hôtels français, selon le coureur irlandais Nicolas Roche.
Diplomate, il précise que pour cette édition 2010 du Tour de France-2010, ses équipiers et lui ont « pour l’instant toujours bien mangé ».
Un beau pied de nez à la sacro-sainte réputation gastronomique de notre douce France.