La gastronomie française entrera-t-elle au prestigieux patrimoine mondial immatériel de l’Unesco ? Un comité intergouvernemental de l’organisation se réunit cette semaine à Nairobi, au Kenya, pour en décider.
Si la demande est acceptée, ce sera la première fois qu’une pratique tournant autour de l’alimentation et de la cuisine y figurera.
Deux autres dossiers culinaires doivent aussi être examinés à Nairobi : le régime méditerranéen déposé par plusieurs pays et un dossier autour du maïs porté par le Mexique. La France propose également que le compagnonnage (méthode ancestrale de transmission des savoirs artisanaux) et la dentelle au point d’Alençon soient inscrits au Patrimoine mondial.
Une cinquantaine de dossiers en tout ont été déposés.Deux autres dossiers culinaires doivent aussi être examinés à Nairobi : le régime méditerranéen déposé par plusieurs pays et un dossier autour du maïs porté par le Mexique. La France propose également que le compagnonnage (méthode ancestrale de transmission des savoirs artisanaux) et la dentelle au point d’Alençon soient inscrits au Patrimoine mondial. Une cinquantaine de dossiers en tout ont été déposés.