On devrait compter 15 restaurants « Pitaya » en France à l’horizon 2018. C’est dire que ce réseau franchisé de street food thaï a gagné ses galons.
L’arrivée de Nathalie Nguyen, en charge de la carte, a changé la donne. Pour avoir goûté l’avant et l’après, la cuisine effectuée à la commande, devant vos yeux et dans des woks comme il se doit, est devenue fort agréable pour un bon rapport qualité prix. (Ticket moyen : 11 euros).
Le pitch de « Pitaya « ? Des assiettes saines, accessibles et gourmandes.
Fortement implanté dans la région de Bordeaux, « Pitaya » débarque en plein Paris, à St Germain-des-Près, dans la petite rue des Canettes. Une quinzaine de places assises et de la street food de Bangkok revue et corrigée à la sauce occidentale.
Tous les plats sont cuisinés à la minute, à la demande et sous les yeux du client. Il est donc possible de personnaliser tous les woks au goût de chacun – même pour les intolérants alimentaires.
14 recettes au total qui vont du Beef Thaï (émincé de boeuf au basilic, légumes croquants et riz) au Pad Thaï (nouilles de riz plates, crevettes ou viande, légumes et cacahuètes pilées au citron vert) en passant par un plat végétarien.
Peu d’huile grâce au wok qui saisit les aliments de façon homogène, des produits frais,(rien n’est gardé plus de 3 jours), des épices et des herbes, des notes salées sucrées.
Nathalie Nguyen sait de quoi elle parle ! Elle a appris la cuisine aux côtés de sa mère, issue d’une grande lignée de cuisiniers de rue et s’est fait connaitre en participant à Masterchef 2011.
La pitaya ou pitahaya est cultivée principalement en Asie du Sud-Est et en Amérique, ainsi que, plus modestement, sur l’île de la Réunion. Fruit exotique né du cactus, elle s’apprécie toute l’année, apportant aux étals sa couleur éclatante. La pitaya se déguste crue : elle est très rafraîchissante et sa saveur est fine, douce et parfumée. Riche en vitamines, elle apporte énergie et vitalité à chaque bouchée. Source : Interfel