Ses atouts ? Goût constant et qualité dans les trois couleurs. Vins proposés à un prix très accessible.
Mais aussi, les pratiques viti-vinis de la marque, restées proches de la tradition, sont plébiscitées par les dégustateurs.
Les opérateurs interrogés, œuvrant à la réussite de la marque sont passionnés par leur métier. Le Maitre de chai Thierry Lachaise, l’œnologue Isabelle Decup, mais aussi les viticulteurs apportant leurs raisins, les tonneliers, cavistes…
Une gamme élégante de vins respectueuse des pratiques du terroir bordelais
La gamme se décline dans les 3 couleurs. A boire …sans modération…et avec jubilation.
Baron de Lestac Rouge. Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc. Elevage 6 mois en fût de chêne. Vendu en GMS. Prix : 3,80 euros.
Baron de Lestac Blanc. Sémillon Sauvignon. Légèrement moelleux. Même durée d’élevage. Prix : 4,50 euros.
Baron de Lestac Rosé, cépages du Rouge. Même durée d’élevage. Prix : 4,50 euros.
Les Hauts de Lestac en rouge. Ce vin représente le haut de gamme de la marque. Elevage 9 mois en fût de chêne. Prix : 6,80 euros.
L’art et le vin
« L’Art et le Vin, sont les joies supérieures des hommes libres » écrivait Aristote.
Baron de Lestac a récemment proposé aux professionnels invités, suite à un atelier d’assemblage de cuvées, un regard parallèle entre l’assemblage et l’élevage d’un vin, et la confection d’une œuvre d’art. Les convives ont eu la chance de pouvoir observer et admirer tableaux et sculptures du musée du Louvre traitant d’une scène de festivités et même de ripailles, rendant hommage au vin.
Une scène illustre du Musée du Louvre liant le Vin et la Fête ?
Les Noces de Cana de Paul Véronèse, le plus spectaculaire tableau du musée du Louvre, a été très admiré par les convives. Ce chef d’œuvre du 16ème siècle, commandé par les moines bénédictins de Venise, montre le Christ transformant l’eau en vin lors de noces de patriciens vénitiens.
Le goût et les arômes de ce vin rouge avaient-ils ceux de la cuvée des Hauts de Lestac, mon coup de cœur ? Enigme à suivre…
Geneviève Guihard/ janvier 2019/laradiodugout.fr