Nicolas le persévérant. Après une première tentative en 2012 où il remportait un Bocuse d’argent, Nicolas Davouze, participait au Bocuse d’Or France pour la 2e fois. Cette année fut donc la bonne!
Ce trophée récompense la volonté de ce jeune chef de 35 ans qui s’est entraîné régulièrement avec son « maître », le MOF Franck Ferigutti, dans le cadre des cuisines du prestigieux Château Saint-Martin à Vence.
Nicolas Davouze est un habitué des concours (Meilleur Commis Rôtisseur en 2000, Nerios d’Or en 2004, vainqueur du Taittinger 2009, finaliste MOF en 2011). Il a travaillé chez Paul Bocuse à Collonges, chez Alain Ducasse au Louis XV, à La Chèvre d’Or avec Philippe Labbé, au Relais et Château Régis et Jacques Marcon, à La Réserve de Beaulieu, avant de rejoindre Gilles Goujon à L’Auberge du Vieux Puits, puis Le Bristol, à Paris, et Terre Blanche Hôtel Spa Golf Resort.
Il intègre dès aujourd’hui la Team France Bocuse d’Or, présidé par François Adamski ,qui le soutiendra tout au long de la phase de préparation dans sa course pour la finale mondiale.
Prochaines étapes : le Bocuse d’Or Europe, les 7 et 8 mai à Stockholm, dans le cadre du salon Gastronord, puis la grande finale Lyonnaise au Sirha 2015, en cas de qualification.
C’est un Français, Thibaut Ruggeri, qui avait remporté le grand titre de Bocuse d’or en 2013. C’est ce même Thibaut qui lui avait chiper la première place sur le podium du Bocuse d’or France l’année auparavant. Quand les grands esprits se rencontrent… Nicolas la revanche!
Thierry Bourgeon/ mars 2014/laradiodugout.fr
Ton premier professeur de cuisine F LEFEVRE que de fierté de t »avoir connus pendant ses quatre ans j’espere que tu auras le temps de venir nous voir mais j’en doute CHEF et je le comprends continue à defendre cette superbe cuisine Française tu es l »exemple pour nos élèves tu portes les couleurs de la Françe par ton talent et ta perseverence
Cher Jean-Paul,
Et pourquoi pas Davouze après Ruggeri il en a la « trempe ».
Bien amicalement.
Thierry Bourgeon.
Le sacre pour Maître Davouze mais je crains qu’il n’arrive pas jusqu’au Bocuse d’or. Deux français deux années de suite ce sera difficile…
Et la faim justifie les moyens que l’on se donne.
Il suffit d’avoir « faim » pour réussir. Ce chef en est la brillante illustration.
Bravo Nicolas, tu sais bien que l’on croit en toi…