Chaque français a bu 23 litres de jus de fruit en moyenne l’an dernier. Ce qui correspond à moins d’un verre de 200 ml par jour. Et bonne nouvelle. Le marché est tiré vers le haut.
Nous buvons davantage de jus de fruit premium (plus d’1 sur 2) et bio dont le marché a doublé en 5 ans.
Selon une étude du CREDOC, Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de Vie, les consommateurs de jus de fruit consomment en général plus de fruits et de légumes que ceux qui n’en boivent pas.
L’orange arrive toujours en tête des ventes devant les multi-fruits, la pomme, surtout dans l’est, les parfums exotiques et la tomate…
Comment les choisir ? Réponse d’Emmanuel Vasseneix, Président d’Unijus, l’interprofession des jus de fruit et des nectars.
Emmanuel Vasseneix au micro d’Isabelle Monrozier…
(Source Usine Nouvelle) : La pascalisation est une technique relativement douce. Le jus de fruits, déjà conditionné, est placé dans une cuve remplie d’eau, comprimée par une pompe. Pendant trois à cinq minutes, il subit une pression de 1 000 à 6 000 bars à froid (3 à 4 °C) ou à température ambiante. Ce qui détruit les bactéries sans endommager les composés aromatiques ou les vitamines, généralement dénaturés par les traitements thermiques conventionnels (pasteurisation, flash pasteurisation, UHT). Le produit, qui peut afficher l’appellation « jus de fruits fraîchement pressés », doit être conservé au réfrigérateur.
Isabelle Monrozier. Avril 2015/laradiodugout.fr
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