C’est un véritable appel que lance le chef tunisien Rafik Tlatli un des portes-drapeaux de la cuisine tunisienne à l’international.
Si le patrimoine culinaire tunisien tend à se déliter nationalement au profit de la « junk food », il est l’un de ces chefs qui tentent de faire de la cuisine tunisienne une cuisine incontournable à travers le monde, mais qui tentent aussi de refaire aimer la cuisine tunisienne aux Tunisiens.
« La gastronomie tunisienne reste aussi méconnue à l’étranger par rapport à celles d’autres pays. La mondialisation de la malbouffe est en train de gagner du terrain dans notre pays. La malbouffe ou la cuisine rapide est une attraction pour les jeunes qui veulent être servis rapidement. Il faut trouver une solution pour redonner aux Tunisiens un attrait pour la gastronomie tunisienne en encourageant nos chefs à être plus créatifs dans les recettes où l’on emploie les produits du terroir et faire du plat que l’on cuisine un aliment léger, bon, moins gras, et ayant une saveur tunisienne » propose Rafik Tlatli au HuffPost Tunisie.
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Prochaine démarche pour mettre en valeur les produits tunisiens, Rafik Tlatli fera partie, les 7, 8 et 9 octobre 2016, des organisateurs de la fête du piment et de l’Harissa à Nabeul. (VOIR AGENDA)
En Décembre dernier Au cours d’un reportage de la Radio du Goût à Sidi Bou Saîd où se tenait un déjeuner pour la paix signé Guy Martin, la ministre tunisienne du Tourisme et de l’artisanat profitait de la présence de la presse française pour mettre elle aussi en avant la cuisine tunisienne.
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Thierry Bourgeon/ laradiodugout.fr /septembre 2016