CAVIAR D’AQUITAINE

DE L’ESTURGEON AU CAVIAR

Me voilà dans l’atelier de production de caviar de Saint-Genis-de-Saintonge. Je suis en compagnie de Jean Baptiste Bomy le responsable du site. Le poisson à peine pêché au filet et transporté en grands conteneurs d’eau douce entre dans le laboratoire. Assommé en quelques fractions de secondes, puis couché de tout son long il va nous offrir son trésor. Les oeufs sont répartis en lots selon leurs couleurs et leurs tailles. Ils seront assemblés, brassés et salés puis déversés dans des boîtes non sans avoir subit une dégustation de contrôle. Chaque lot est étiqueté, les clients sauront d’où provient le moindre des grains proposés. Découvrez le reportage multimédia

 

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8 Responses

  1. Bonner dit :

    Hey, you’re the goto expert. Thanks for hannigg out here.

  2. Aileen dit :

    Never seen a beettr post! ICOCBW

  3. Maud dit :

    Now that’s sbutle! Great to hear from you.

  4. Laetitia dit :

    Quelle sera la réponse du groupe Sturgeon a la montée en puissance des espèces chinoises?

  5. De nombreuses vidéos en ligne montrent le fonctionnement des élevages, en fait d’un élevage le plus souvent. Les reportages des journaux télévisés en temps de fêtes servent souvent le même menu résumant la production des perles noires à la préparation des oeufs. D’autres, dans le cadre d’émissions relevant davantage du magazine, prennent le temps d’exposer l’ensemble de la chaine de production. Le plus complet des reportages disponibles sur la toile n’est portant pas une vidéo, mais une émission de radio d’une vingtaine de minutes, découpées en 5 séances et liées à des diaporamas. En avril 2010, Thierry Bourgeon visitait quelques uns des sites du plus grand producteur français de caviar, le groupe Sturgeon.

    http://monbeaucaviar.blogspot.com/2011/01/ressources-du-web-le-reportage-de.html

  6. Courtioux dit :

    Ce qui est certain, c’est que les oeufs d’esturgeon étaient soit donnés aux canards du port, soit mangés par des marins, pêcheurs et autres « petites gens » de l’estuaire de la Gironde en Charente maritime et Gironde, car on ignorait sa valeur réelle. Mais c’était assez nourrissant et c’est ce qui comptait pour l’époque, avant 1900.
    merci à Thierry Bourgeon, dont j’ignorais qu’il avait parlé de nous, d’avoir eu l’élégance de citer ses sources…
    Merci Thierry, ce sera toujours un plaisir de vous lire ou de vous entendre.

    MC Courtioux

  7. arfouni dit :

    Bonjour,

    On aurait donné du caviar aux ouvriers par le passé et cela serait indiqué sur un règlement intérieur de salariés de l’époque. Auriez vous, si vous connaissez ce document, l’extrême amabilité de me transmettre les données relatives à cette information.
    Comptant sur votre célérité, je vous prie d’agréer, Madame Monsieur les responsables l’expression de mes cordiales salutations.
    Donia ARFOUNI

  1. 2 octobre 2010

    […] Depuis, il les élève et les nourrit dans un bassin aménagé avec eau courante au fond de sa propriété périgourdine. Il doit encore attendre sept ans pour que ces petites bêtes soient en âge d’offrir leurs œufs ! Sûr qu’il nous concoctera alors de nouvelles émissions (www.testrdg.laradiodugout.fr).” Merci à mon confrère. Je précise que les esturgeons se portent comme un charme et je vous invite à aller découvrir le reportage multimédia sur le Caviar d’Aquitaine. […]