C’est en compagnie d’Ahmed DOGBRI, chef au Sangho Zarzis, de ses adjoints Mohamed THABET et Alya BEJI originaire de Tunis et de toute son équipe que nous nous sommes mis à table pour déguster et mieux comprendre cette cuisine du soleil les pieds dans la méditerranée et la têtes dans les oliviers de l’arrière pays.
Au menu je vous propose en entrée les « MASSEMS », des feuilles de breïk garnies de farce au poulet, oeufs et haricots entiers. Les feuilles de breïks sont incontestablement d’origine tunisienne. Elles sont faites, une à une, à la maison par des femmes spécialisées dans ce travail artisanal. Deux breïks aux oeufs font un bon repas. Celles pliées et farcies accompagnent l’apéritif et peuvent servir d’entrée originale à un repas.
En fait les hors-d’oeuvre sont nombreux dans la cuisine tunisienne.
Fraîcheur des salades d’aubergines, de poivros ou de courgettes.
Délicieuse Mekbouba, cette « fondue » de tomates aux poivrons verts et ail, relevée d’un petit piment et d’une pincée de carvi moulu qui lui donne un goût plus exotique.
Goût subtil d’un ajlouke de courgettes, cette petite « purée magique » relevée avec un peu d’arissa, de jus de citron, d’ail écrasé, de carvi, de coriandre, le tout arrosé d’un filet d’huile et garni d’olives noires…
Comme plat bien sur un poisson. Par la longueur de ses côtes, la Tunisie a, depuis toujours été gâtée par la diversité et la quantité des poissons vendus sur ses marchés.
Je connais tres bien la patisserie du sud les gateaux sont exellent . Une grande pensée au fondateur qui etait mon ex beau père. Un homme respectable et respecté.